Cette mesure a été sélectionnée par :
Cette fiche technique a été rédigée avec l’aide du Réseau Cocagne, du Réseau des Amap, de Greniers d’Abondance, FAIR[e], Greenpeace et de Bioconsom’acteurs
Voir également les mesures 1, 5 et 6.
Notre consommation de viande s’est fortement renforcée depuis 50 ans. Sur la planète, 70% des terres agricoles sont destinées à nourrir les animaux : cette pression sur les terres se traduit par de nombreux conflits fonciers (accaparement des terres) et une déforestation importante. D’après le GIEC, manger moins de viande serait le moyen le plus efficace pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur agricole. Manger moins de viande va également de pair avec manger une viande de meilleure qualité, issue d’animaux élevés localement et nourris avec des aliments bio.
De façon plus générale, l’enjeu est de faire évoluer notre alimentation vers des produits plus sains, issues de filières bio et équitables, internationales ou locales, qui permettent un lien entre agriculteur·trices et consommateur.trices, et plus respectueux de la planète. La restauration collective est un levier efficace à l’échelle des territoires pour engager une telle démarche de réflexion, en rendant accessible à tou·tes ces produits, et en structurant les filières concernées.
Au moins 50% de bio et (local et/ou équitable/sous signe de qualité) et 1 repas végétarien par semaine /alternative végétarienne.
Au moins 75% de bio et (local et/ou équitable) et 2 repas végétariens par semaine.
Au moins 100% de bio (et local et/ou équitable) et 3 repas végétariens par semaine.
Formation et sensibilisation
Filières et infrastructures
Politiques publiques & concertations citoyennes